Mycothérapie

Les « champignons » forment l’un des 7 règnes vivants.
On estime qu’il en existe de 2,2 à 3,8 millions d’espèces différentes mais on en connait qu’un peu plus de 100 000.

Le réseau « internet » de la Terre

Ce sont des êtres vivants eucaryotes qui ne sont ni des plantes (pas de photosynthèse), ni des animaux.

Dans la Nature, on les classe en 3 catégories :
Les levures, les moisissures et les champignons.

Les champignons utilisés en mycothérapie sont issus des familles basidiomycètes (avec chapeau) et les ascomycètes (type truffe).

Leur paroi cellulaire est composée de chitine comme les crustacés et les insectes et non de cellulose comme les plantes.

On dit qu’ils sont hétérotrophes : c’est-à-dire qu’ils vivent aux dépens de la matière organique fabriquée par les autres organismes. Grâce à des enzymes, ils décomposent cette matière en molécules organiques absorbables, on parle de digestion extracellulaire.

Ils compensent leur manque de mobilité par une hyper faculté à faire pousser leur filaments/hyphes qui constituent un véritable maillage sous-terrain.

Les différentes formes galéniques :

Les poudres de basidiocarpes possèdent une concentration basse de principes actifs mais suffisante pour la prévention ou les cures de saison. Ils présentent une fonction proche des probiotiques (chitine et fibres insolubles pour la flore commensale)

Les mélanges de poudres et d’extraits sont plus concentrés en principes actifs. Leur utilisation recommande des connaissances en la matière.

Les extraits, offrent une concentration élevée de bétaglucanes, triterpènes, stérols et polysccharides bio-disponibles. Ils nécessitent l’aide d’un thérapeute.

Tout l’Univers est en nous !